En août dernier, pour promouvoir la campagne ‘Second Hand September’ d’Oxfam, Felicity a répondu aux questions du Telegraph. L’occasion pour l’actrice de partager son affection pour la friperie mais aussi pour évoquer la construction de son personnage dans son dernier film Borderland. La traduction de l’article est à retrouver dans les archives interviews du site.
Rencontrez la star d’Hollywood qui est fière de porter du Oxfam.
Felicity Jones parle d’anxiété, de tapis rouge et de fashion – du style « charity-shop » à l’adoption de l’esprit garçon manqué.
Pour une actrice qui a si bien réussi à atteindre les sommets vertigineux d’Hollywood, Felicity Jones a des dents rassurement normales. Elles sont dépourvus d’effrayantes facettes d’un blanc éclatant auquel ont succombé tant de ses pairs. Elles ont du caractères, si légèrement décalés, leurs charmes résidant dans leurs imperfections.
En cela, elles sont un reflet des goûts vestimentaires de leurs propriétaires. Pour ce qui est de sa propre garde-robe, Felicity, se situe résolument dans le camp de la friperie. Une rose anglaise qui est tellement passionnée par la durabilité qu’elle a accepté d’être l’égérie de l’initiative ‘Second Hand September’ lancée par Oxfam, une campagne annuelle qui encourage les gens à choisir l’occasion à la place du neuf. Etant donné que le Royaume-Uni envoie 13 millions d’habits d’occasion par semaine à la décharge, il est clair qu’un encouragement est nécessaire.
Née à Birmingham, d’un père journaliste et d’une mère travaillant dans la publicité, l’amour de Felicity pour les vêtements d’occasion a débuté très tôt. « Je me souviens que je m’asseyais sous les portants de vêtements quand j’étais petite. Ma maman avait l’habitude d’être bénévole dans un magasin d’occasions, le Settlement, à Birmingham. Elle trouvait toujours des occasions en or et j’ai hérité de cet intérêt. J’aime le côté mystérieux de la seconde main et l’histoire derrière les vêtements. Tu ne sais jamais vraiment ce que tu vas avoir ».
Lire la suite