Dans les coulisses de la préparation de Felicity Jones pour les Fashion Awards

Dans les coulisses de la préparation de Felicity Jones pour les Fashion Awards

Retrouvez dès à présent la traduction complète de l’article de Felicity pour Harper’s Bazaar UK de décembre dernier en amont des Fashion Awards.


« C’est très important en ces temps difficiles d’avoir la joie du monde de la mode. »

« Je suis très excitée, cela va inaugurer la saison des fêtes à la perfection », me dit l’actrice Felicity Jones depuis son taxi. Elle est en route pour son dernier essayage avant les annuels Fashion Awards, une soirée célébrant les stars de l’industrie de la mode et ceux qui ont eu un impact signifiant au cours des 12 derniers mois.

Pour l’occasion Felicity porte du Erdem, une marque vers laquelle elle s’est tournée lors de moments importants de sa vie – comme son mariage. « Nous avons une longue histoire de collaboration, donc c’est toujours un plaisir de repasser par son atelier pour voir ce qu’il se prépare », Felicity explique que son travail avec des stylistes comme Erdem Moralioglu l’a aidé à développer son propre style. « J’ai [appris à] porter plus ce qui me va et non ce que je pense que je devrais porter ».

La robe que Felicity a choisie pour la soirée est un design inspiré du ballet de la collection printemps/été 2024 d’Erdem. « Il est très inspiré par sa vie londonienne, ce que nous avons en commun », elle rajoute « j’aime le côté irrévérencieux de son travail, mais il y a aussi un sens très profond de l’histoire de la mode. C’est une jolie combinaison entre quelque chose de très classique mais avec un twist. »

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Les acteurs de Dead Shot nous parlent du film

Interviewés sur le tournage de Dead Shot, Aml Ameen, Colin Morgan, Felicity Jones, Mark Strong et Sophia Brown nous parlent du film et de leurs expériences sur le tournage.


« Je joue le personnage de Catherine, qui est connue en tant que coursière. Elle utilise les informations pour approfondir ses opinions et celles de son père dans leurs combats. Le film est remplie de nuances complexes et de personnages intéressants qui vous donne envie de les soutenir  »

Felicity répond aux questions du Guardian

Felicity répond aux questions du Guardian

En mai dernier, Felicity Jones a répondu à une série de questions de Rosanna Greenstreet, journaliste pour le Guardian. La traduction de l’article est à retrouver dans les archives interviews du site.


« Un prof m’a rendue folle en me disant que j’étais une fille ‘raisonnablement intelligente' ».

L’actrice nommée aux Oscars nous parle de sa mauvaise habitude d’envoyer des textos, de ses excuses et de son souhait d’être Penélope Cruz.

Née à Birmingham, Felicity, 39 ans, a joué dans la série The Worst Witch quand elle était adolescente, puis dans The Archers tout en continuant ses études à Oxford. En 2011, elle a remporté le prix spécial du jury au festival de Sundance pour sa performance dans Like Crazy et en 2014 elle a joué dans The Theory of Everything, lui permettant d’être nommée aux Baftas et aux Oscars. Dans sa filmographie on retrouve aussi Rogue One, On the Basis of Sex, A Monster Calls et Dead Shot, disponible sur Sky Cinema. Elle vit actuellement à Londres avec son mari et son fils.

Quelle est votre plus grande peur ? Pas assez de nourriture dans le frigo.

Quel est le trait de caractère que vous déplorez le plus chez vous ? Essayer de faire un million de chose à la fois.

Et chez les autres ? La méchanceté.

Décrivez-vous en trois mots. En ce moment, heureuse, nerveuse et affamée.

Quel serait votre superpouvoir ? Avoir un double.

Qu’est-ce qui vous rend malheureuse ? Ne jamais faire la grasse matinée, jamais.

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Felicity à l’émission The One Show

Dans le but de présenter le film Dead Shot, Felicity s’est rendue sur le plateau de l’émission de la BBC, The One Show. Pour ceux qui y ont accès, l’interview de Felicity est accessible sur le BBC Player. Pour les autres, deux extraits ont été partagés sur Twitter. On y retrouve Felicity qui nous parle de son rôle, Catherine dans Dead Shot et qui évoque le fait de travailler en famille sur le film.

Felicity Jones interviewée par le Telegraph (2022)

Felicity Jones interviewée par le Telegraph (2022)

En août dernier, pour promouvoir la campagne ‘Second Hand September’ d’Oxfam, Felicity a répondu aux questions du Telegraph. L’occasion pour l’actrice de partager son affection pour la friperie mais aussi pour évoquer la construction de son personnage dans son dernier film Borderland. La traduction de l’article est à retrouver dans les archives interviews du site.


Rencontrez la star d’Hollywood qui est fière de porter du Oxfam.

Felicity Jones parle d’anxiété, de tapis rouge et de fashion – du style « charity-shop » à l’adoption de l’esprit garçon manqué.

Pour une actrice qui a si bien réussi à atteindre les sommets vertigineux d’Hollywood, Felicity Jones a des dents rassurement normales. Elles sont dépourvus d’effrayantes facettes d’un blanc éclatant auquel ont succombé tant de ses pairs. Elles ont du caractères, si légèrement décalés, leurs charmes résidant dans leurs imperfections.

En cela, elles sont un reflet des goûts vestimentaires de leurs propriétaires. Pour ce qui est de sa propre garde-robe, Felicity, se situe résolument dans le camp de la friperie. Une rose anglaise qui est tellement passionnée par la durabilité qu’elle a accepté d’être l’égérie de l’initiative ‘Second Hand September’ lancée par Oxfam, une campagne annuelle qui encourage les gens à choisir l’occasion à la place du neuf. Etant donné que le Royaume-Uni envoie 13 millions d’habits d’occasion par semaine à la décharge, il est clair qu’un encouragement est nécessaire.

Née à Birmingham, d’un père journaliste et d’une mère travaillant dans la publicité, l’amour de Felicity pour les vêtements d’occasion a débuté très tôt. « Je me souviens que je m’asseyais sous les portants de vêtements quand j’étais petite. Ma maman avait l’habitude d’être bénévole dans un magasin d’occasions, le Settlement, à Birmingham. Elle trouvait toujours des occasions en or et j’ai hérité de cet intérêt. J’aime le côté mystérieux de la seconde main et l’histoire derrière les vêtements. Tu ne sais jamais vraiment ce que tu vas avoir ».

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